Tes yeux alimentent ta main. Peut-être que tes yeux ne se ferment jamais. Et ta main s’alourdit d’une graine qui germe. Et tes yeux sont la forge, et ta main est une mère. Elle est juste. Juste comme une hache qui sépare le monde en deux : d’un côté la lumière et de l’autre le temps. On a la mort derrière soi et devant
Tes yeux alimentent ta main. Peut-être que tes yeux ne se ferment jamais. Et ta main s’alourdit d’une graine qui germe. Et tes yeux sont la forge, et ta main est une mère. Elle est juste. Juste comme une hache qui sépare le monde en deux : d’un côté la lumière et de l’autre le temps. On a la mort derrière soi et devant Paul Eluard