Les femmes d’esprit ne s’abusent jamais sur elles-mémes; elles comptent leurs rides; elles assistent à la naissance de la patte d’oie; elles voient poindre leurs grains de millet; elles se savent par cœur, et le disent méme trop par la grandeur de leurs efforts à se conserver.
Les femmes d’esprit ne s’abusent jamais sur elles-mémes; elles comptent leurs rides; elles assistent à la naissance de la patte d’oie; elles voient poindre leurs grains de millet; elles se savent par cœur, et le disent méme trop par la grandeur de leurs efforts à se conserver.
Honoré de Balzac