On dira que c’est peu de chose, c’est immense, comme l’amour, ce jeu étrange, où l’on est présent à soi par la présence de l’autre, où l’infini d’un visage fait éclater la finitude du moi.
On dira que c’est peu de chose, c’est immense, comme l’amour, ce jeu étrange, où l’on est présent à soi par la présence de l’autre, où l’infini d’un visage fait éclater la finitude du moi. Jacques de Bourbon Busset