Ces deux états de conscience, sommeil et état de veille, sont aussi subjectifs l’un que l’autre. Ce n’est qu’en commençant à se rappeler lui-même que l’homme peut réellement s’éveiller. Autour de lui toute la vie prend alors un aspect et un sens différents. Il la voit comme une vie de gens endormis, une vie de sommeil. Tout ce que les gens disent, tout ce qu’ils font, ils le disent et le font dans le sommeil. Rien de cela ne peut donc avoir la moindre valeur. Seul le réveil et ce qui mène au réveil a une valeur réelle.
Ces deux états de conscience, sommeil et état de veille, sont aussi subjectifs l’un que l’autre. Ce n’est qu’en commençant à se rappeler lui-même que l’homme peut réellement s’éveiller. Autour de lui toute la vie prend alors un aspect et un sens différents. Il la voit comme une vie de gens endormis, une vie de sommeil. Tout ce que les gens disent, tout ce qu’ils font, ils le disent et le font dans le sommeil. Rien de cela ne peut donc avoir la moindre valeur. Seul le réveil et ce qui mène au réveil a une valeur réelle. Georges Ivanovitch Gurdjieff
Oui. L'enfer n'est qu'un malentendu, une manque fatale de synchronicité. J'ai lu quelques livres de Maurice Nicoll, disciple de Gurdjieff. Pour ne pas perdre espoir.