Les marins ont les jambes séparées, toujours prêtes à fléchir, à contracter. Obligés de se dandiner sur les tillacs pour suivre l’impulsion de la mer, à terre il leur est impossible de marcher droit. Ils louvoient toujours : aussi commence-t-on à en faire des diplomates.
Les marins ont les jambes séparées, toujours prêtes à fléchir, à contracter. Obligés de se dandiner sur les tillacs pour suivre l’impulsion de la mer, à terre il leur est impossible de marcher droit. Ils louvoient toujours : aussi commence-t-on à en faire des diplomates. Honoré de Balzac
Parfois les négociations ont lieu en mer, les diplomates marchent-ils droit, alors?