La littérature se renouvelle par les états du cerveau — états d’âme — plus que par la forme ou le sujet ; quelquefois par les grands sentiments qu’on a à sa portée.
La littérature se renouvelle par les états du cerveau — états d’âme — plus que par la forme ou le sujet ; quelquefois par les grands sentiments qu’on a à sa portée. Francis Picabia