Le sage vit tant qu’il doit, non pas tant qu’il peut ; et le présent que nature nous ait fait le plus favorable, et qui nous ôte tout moyen de nous plaindre de notre condition, c’est de nous avoir laissé la clef des champs.
Le sage vit tant qu’il doit, non pas tant qu’il peut ; et le présent que nature nous ait fait le plus favorable, et qui nous ôte tout moyen de nous plaindre de notre condition, c’est de nous avoir laissé la clef des champs. Michel de Montaigne