Tout comme le noyau d’un fruit se brise pour exposer son coeur au soleil, il vous faut connaître la douleur. Et si votre coeur pouvait s’émerveiller en permanence devant les miracles quotidiens de votre vie, votre douleur ne lui paraîtrait pas moins étonnante que votre joie ; Et vous accepteriez les saisons de votre coeur de la même façon que vous avez toujours accepté la succession des saisons dans vos campagnes. Et vous veilleriez sereinement au long des hivers de votre souffrance.
Tout comme le noyau d’un fruit se brise pour exposer son coeur au soleil, il vous faut connaître la douleur. Et si votre coeur pouvait s’émerveiller en permanence devant les miracles quotidiens de votre vie, votre douleur ne lui paraîtrait pas moins étonnante que votre joie ; Et vous accepteriez les saisons de votre coeur de la même façon que vous avez toujours accepté la succession des saisons dans vos campagnes. Et vous veilleriez sereinement au long des hivers de votre souffrance. Khalil Gibran