Je ne me sens toujours pas intégré dans la vie normale. Les camps de concentration m’ont rendu prématurément blasé, m’ont fait perdre tout sentiment violent de peur, d’amour ou de joie.
Je ne me sens toujours pas intégré dans la vie normale. Les camps de concentration m’ont rendu prématurément blasé, m’ont fait perdre tout sentiment violent de peur, d’amour ou de joie. Georges Moustaki