Je vois la différence, je préfère la pureté de la pellicule, cette espèce de vibration visuelle que le numérique ne peut pas rendre. A fortiori quand vous êtes assis près de l’écran : la pellicule offre un grain particulier, la dispersion chaotique des molécules visuelles s’anime d’une vie propre. La différence est à peu près la même qu’entre la peinture à l’huile et la peinture acrylique. Mais ce qui compte vraiment, c’est le coup de pinceau de l’artiste, son sujet, sa philosophie, son talent.
Je vois la différence, je préfère la pureté de la pellicule, cette espèce de vibration visuelle que le numérique ne peut pas rendre. A fortiori quand vous êtes assis près de l’écran : la pellicule offre un grain particulier, la dispersion chaotique des molécules visuelles s’anime d’une vie propre. La différence est à peu près la même qu’entre la peinture à l’huile et la peinture acrylique. Mais ce qui compte vraiment, c’est le coup de pinceau de l’artiste, son sujet, sa philosophie, son talent. Steven Spielberg