Une mère n’a point de plus riche couronne Que celle dont l’hymen orne son noble front. Sur son solide éclat que ton bonheur se fonde ! Laisse, pour t’en parer, tout ce clinquant du monde, Qui te cache un néant sous de brillants dehors. Imite, avec orgueil, l’illustre Cornélie, Qui, sans or et sans art, mère et femme accomplie, Dit, en montrant ses fils : Voilà mes seuls trésors !.
Une mère n’a point de plus riche couronne Que celle dont l’hymen orne son noble front. Sur son solide éclat que ton bonheur se fonde ! Laisse, pour t’en parer, tout ce clinquant du monde, Qui te cache un néant sous de brillants dehors. Imite, avec orgueil, l’illustre Cornélie, Qui, sans or et sans art, mère et femme accomplie, Dit, en montrant ses fils : Voilà mes seuls trésors !. Antoine Joseph Théodore Auguste Clavareau