Dans l’adolescence, on aime les autres femmes parce qu’elles ressemblent plus ou moins à la première ; plus tard on les aime parce qu’elles diffèrent entre elles.
Dans l’adolescence, on aime les autres femmes parce qu’elles ressemblent plus ou moins à la première ; plus tard on les aime parce qu’elles diffèrent entre elles. Flaubert