On a dit beaucoup trop de mal de la télévision, alors qu’on aurait dû lui en faire, en fusillant par exemple l’ensemble de ses journalistes et de ses animateurs. Ça pour commencer.
On a dit beaucoup trop de mal de la télévision, alors qu’on aurait dû lui en faire, en fusillant par exemple l’ensemble de ses journalistes et de ses animateurs. Ça pour commencer. Michel-Georges Micberth