J’éprouve que, pour gagner les hommes, il n’est point de meilleur voie que de se parer à leurs yeux de leurs inclinations, que de donner dans leurs maximes, encenser leurs défauts et applaudir à ce qu’ils font.
J’éprouve que, pour gagner les hommes, il n’est point de meilleur voie que de se parer à leurs yeux de leurs inclinations, que de donner dans leurs maximes, encenser leurs défauts et applaudir à ce qu’ils font. Molière