Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m’a privé de toi ! Et puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n’ai plus que faire du monde ! Sans toi, il m’est impossible de vivre. C’en est fait, je n’en puis plus, je meurs, je suis mort, je suis enterré !.
Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m’a privé de toi ! Et puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n’ai plus que faire du monde ! Sans toi, il m’est impossible de vivre. C’en est fait, je n’en puis plus, je meurs, je suis mort, je suis enterré !. Molière