Pour un hacker, utiliser des logiciels sans avoir la capacité de comprendre comment ils fonctionnent et de les améliorer, c’est un abandon de souveraineté. C’est accepter la limitation des connaissances ; accepter le pouvoir de la machine sur l’homme quand, dit Matthias Kirschner, les logiciels devraient faire ce que tu leur demandes, pas le contraire ; c’est accepter, enfin, le pouvoir des constructeurs sur les utilisateurs.
Pour un hacker, utiliser des logiciels sans avoir la capacité de comprendre comment ils fonctionnent et de les améliorer, c’est un abandon de souveraineté. C’est accepter la limitation des connaissances ; accepter le pouvoir de la machine sur l’homme quand, dit Matthias Kirschner, les logiciels devraient faire ce que tu leur demandes, pas le contraire ; c’est accepter, enfin, le pouvoir des constructeurs sur les utilisateurs. Amaelle Guiton