Il faut, pour frapper quelqu’un, même au combat, se libérer d’un poids de civilisation qui enferme la plupart d’entre nous dans la fausseté et une douceur forcée. Cet écran ôté, c’est la vraie nature de l’homme qui se révèle.
Il faut, pour frapper quelqu’un, même au combat, se libérer d’un poids de civilisation qui enferme la plupart d’entre nous dans la fausseté et une douceur forcée. Cet écran ôté, c’est la vraie nature de l’homme qui se révèle. Jean-Christophe Rufin