Je te dois un aveu. Je n’ai jamais pu comprendre comment on peut aimer son prochain. C’est précisément, à mon avis, le prochain qu’on ne peut aimer ; les êtres éloignés, le lointain, soit ! Mais le prochain !.
Je te dois un aveu. Je n’ai jamais pu comprendre comment on peut aimer son prochain. C’est précisément, à mon avis, le prochain qu’on ne peut aimer ; les êtres éloignés, le lointain, soit ! Mais le prochain !. Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski