Ô de la puberté la terrible démence ! Qui ne les connut pas ces amours de treize ans ? Solfatares du cœur qui brûlent en silence, Embrasements, étouffements !.
Ô de la puberté la terrible démence ! Qui ne les connut pas ces amours de treize ans ? Solfatares du cœur qui brûlent en silence, Embrasements, étouffements !. Jules Barbey d’Aurevilly