Vous êtes donc bien tendre à la tentation, Et la chair sur vos sens fait grande impression ! Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte : Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte, Et je vous verrais nu du haut jusques en bas, Que toute votre peau ne me tenterait pas.
Vous êtes donc bien tendre à la tentation, Et la chair sur vos sens fait grande impression ! Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte : Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte, Et je vous verrais nu du haut jusques en bas, Que toute votre peau ne me tenterait pas. Molière