Rosette, pour un peu d’absence, Votre cœur vous avez changé, Et moi, sachant cette inconstance, Le mien autre part j’ai rangé ; Jamais plus beauté si légère Sur moi tant de pouvoir n’aura : Nous verrons, volage bergère, Qui premier s’en repentira.
Rosette, pour un peu d’absence, Votre cœur vous avez changé, Et moi, sachant cette inconstance, Le mien autre part j’ai rangé ; Jamais plus beauté si légère Sur moi tant de pouvoir n’aura : Nous verrons, volage bergère, Qui premier s’en repentira. Philippe Desportes