Partir, c’est un arrachement, une manière d’amputation. Rompre, c’est une violence. Dans l’expatriation, on perd nécessairement une part de soi.
Partir, c’est un arrachement, une manière d’amputation. Rompre, c’est une violence. Dans l’expatriation, on perd nécessairement une part de soi. Philippe Besson