Le bonheur fait notre Je(u). Et le malheur, c’est le Moi-sans-Je(u), le tout-Moi, le Moi devenu tyran. Le bonheur : identité nomade, s’identifiant et se désidentifiant au gré de nos vagabondages intimes. Le malheur : identité sédentaire, contre-révolutionnaire.
Le bonheur fait notre Je(u). Et le malheur, c’est le Moi-sans-Je(u), le tout-Moi, le Moi devenu tyran. Le bonheur : identité nomade, s’identifiant et se désidentifiant au gré de nos vagabondages intimes. Le malheur : identité sédentaire, contre-révolutionnaire. Vincent Cespedes