Les faibles de caractère et les simples d’esprit auront toujours à se louer du mariage. Songez encore à ceci : ceux qui défendent le plus le mariage, en paroles, sont souvent ceux qui en souffrent le plus. Ils feignent le grand bonheur, crainte d’être percés et plaints.
Les faibles de caractère et les simples d’esprit auront toujours à se louer du mariage. Songez encore à ceci : ceux qui défendent le plus le mariage, en paroles, sont souvent ceux qui en souffrent le plus. Ils feignent le grand bonheur, crainte d’être percés et plaints. Henry de Montherlant