Il faut avoir vu une réunion d’actionnaires au lendemain d’un désastre, il faut avoir vu les poings crispés, les faces convulsées, les yeux hors de la tête et les lèvres frangées d’écume, pour savoir à quelles contorsions épileptiques la rancune de l’argent réduit des hommes assemblés.
Il faut avoir vu une réunion d’actionnaires au lendemain d’un désastre, il faut avoir vu les poings crispés, les faces convulsées, les yeux hors de la tête et les lèvres frangées d’écume, pour savoir à quelles contorsions épileptiques la rancune de l’argent réduit des hommes assemblés. Émile Gaboriau