L’amour conduit le lyrisme à remodeler indéfiniment le langage, à mettre en cause les règles et les formes, à s’aventurer vers les territoires de la musique et du silence.
L’amour conduit le lyrisme à remodeler indéfiniment le langage, à mettre en cause les règles et les formes, à s’aventurer vers les territoires de la musique et du silence. Jean-Michel Maulpoix