Écrire, c’est accepter de déplaire. Le souci de perfection, l’obsession du bien faire , du bien écrire , ça l’angoisse. La littérature est désordre. Le monde est désordre – comment rendre compte autrement de sa brutalité ? Les mots ne devraient pas être à la bonne place. La littérature est là, précisément, dans cette zone d’insécurité.
Écrire, c’est accepter de déplaire. Le souci de perfection, l’obsession du bien faire , du bien écrire , ça l’angoisse. La littérature est désordre. Le monde est désordre – comment rendre compte autrement de sa brutalité ? Les mots ne devraient pas être à la bonne place. La littérature est là, précisément, dans cette zone d’insécurité. Karine Tuil