La vie n’est qu’une suite de commencements, indéfinis dans le temps. Et le deuxième, le troisième, le centième recommencement, et le cent millionième renvoient au premier et au seul commencement : celui où le tout se dégage du néant.
La vie n’est qu’une suite de commencements, indéfinis dans le temps. Et le deuxième, le troisième, le centième recommencement, et le cent millionième renvoient au premier et au seul commencement : celui où le tout se dégage du néant. Jean d’ Ormesson