Commémorer la Première guerre mondiale, c’est aussi rappeler la fraternité des démocraties avec le sacrifice de ces jeunes hommes, venus des cinq continents, qui sont morts sur les champs de bataille de la Somme, de l’Aisne, de la Meuse, de la Marne, qu’ils ne connaissaient pas, pour notre propre liberté. En témoignent sur notre sol les imposants cimetières que beaucoup connaissent : britanniques, russes, canadiens, australiens, néo-zélandais, sud-africains ou américains. C’est aussi ce souvenir-là que nous entretenons.
Commémorer la Première guerre mondiale, c’est aussi rappeler la fraternité des démocraties avec le sacrifice de ces jeunes hommes, venus des cinq continents, qui sont morts sur les champs de bataille de la Somme, de l’Aisne, de la Meuse, de la Marne, qu’ils ne connaissaient pas, pour notre propre liberté. En témoignent sur notre sol les imposants cimetières que beaucoup connaissent : britanniques, russes, canadiens, australiens, néo-zélandais, sud-africains ou américains. C’est aussi ce souvenir-là que nous entretenons. François Hollande