Privées de paroles, les choses restent muettes, et d’autant plus graves et dangereuses. Parler, crier, pleurer apporte toujours un soulagement.
Privées de paroles, les choses restent muettes, et d’autant plus graves et dangereuses. Parler, crier, pleurer apporte toujours un soulagement. Sándor Márai