Je ne crois pas en effet que notre époque puisse se raconter sous la forme d’un roman. Il faut un minimum de narration, et ce monde-ci, toujours entrecoupé par la réception d’un SMS, d’un mail, ne raconte plus grand-chose dans la longueur. La seule chose qui y soit continue, c’est l’interruption.
Je ne crois pas en effet que notre époque puisse se raconter sous la forme d’un roman. Il faut un minimum de narration, et ce monde-ci, toujours entrecoupé par la réception d’un SMS, d’un mail, ne raconte plus grand-chose dans la longueur. La seule chose qui y soit continue, c’est l’interruption. Christophe Ono-dit-Biot