On ne hait pas celui qu’on méprise. On hait l’homme dont les qualités balancent celles qu’on croit avoir, et dont les prétentions sont en opposition avec celles qu’on a.
On ne hait pas celui qu’on méprise. On hait l’homme dont les qualités balancent celles qu’on croit avoir, et dont les prétentions sont en opposition avec celles qu’on a. Pigault-Lebrun