Ceux qui ont écrit sur l’homme n’ont jamais considéré l’homme en général. Le père Malebranche regarde l’homme comme une âme chrétienne, la Bruyère comme un Français qui a des ridicules. Celui qui ferait un traité des chiens devrait-il ne parler que des épagneuls ? Il y a des hommes noirs, blancs, jaunes, barbus, sans barbe ; les uns naissent pour penser beaucoup, les autres pour penser très-peu, etc.
Ceux qui ont écrit sur l’homme n’ont jamais considéré l’homme en général. Le père Malebranche regarde l’homme comme une âme chrétienne, la Bruyère comme un Français qui a des ridicules. Celui qui ferait un traité des chiens devrait-il ne parler que des épagneuls ? Il y a des hommes noirs, blancs, jaunes, barbus, sans barbe ; les uns naissent pour penser beaucoup, les autres pour penser très-peu, etc. Voltaire