Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l’application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu’on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui va en arrière fait deux fois le chemin. Qui mal enfourne tire les pains tordus. Qui veut tuer son chien le dit enragé. Que celui-là sonne la cloche qui emporte l’offrande. Qui dédaigne la poire veut en manger.
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l’application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu’on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui va en arrière fait deux fois le chemin. Qui mal enfourne tire les pains tordus. Qui veut tuer son chien le dit enragé. Que celui-là sonne la cloche qui emporte l’offrande. Qui dédaigne la poire veut en manger. Cervantès