Les livres ne ressemblent-ils pas aux chemins dont la longueur ne se mesure pas au nombre de pas qu’ils nous obligent à faire, mais à l’intérêt ou à l’ennui de la pensée, pendant qu’on les fait.
Les livres ne ressemblent-ils pas aux chemins dont la longueur ne se mesure pas au nombre de pas qu’ils nous obligent à faire, mais à l’intérêt ou à l’ennui de la pensée, pendant qu’on les fait. Jules Barbey d’Aurevilly