Le visage est ce que l’on ne voit pas de soi. Le dos non plus, je vous l’accorde. En se contorsionnant, on attrape un éclat d’omoplate, un peu de clavicule et de reins. Mais on porte devant soi son visage comme une offrande.
Le visage est ce que l’on ne voit pas de soi. Le dos non plus, je vous l’accorde. En se contorsionnant, on attrape un éclat d’omoplate, un peu de clavicule et de reins. Mais on porte devant soi son visage comme une offrande. Marie Darrieussecq