Ce ne sont plus des amis, ce sont –que dis-je ? Des fantômes d’amis ! Quelquefois dans la nuit ils heurtent à mon cœur. Ils me regardent et me disent : C’était pourtant nous ? – Ô paroles fanées, vous aviez des odeurs de roses.
Ce ne sont plus des amis, ce sont –que dis-je ? Des fantômes d’amis ! Quelquefois dans la nuit ils heurtent à mon cœur. Ils me regardent et me disent : C’était pourtant nous ? – Ô paroles fanées, vous aviez des odeurs de roses. Friedrich Nietzsche