La possession induit la claustrophobie. S’inspirer de la vision de Brecht, celle de deux albatros volant sur de longues distances, unis par l’amour. Pas de cet amour des premiers instants où l’on se regarde les yeux dans les yeux, mais celui dont le regard est tourné vers le monde.
La possession induit la claustrophobie. S’inspirer de la vision de Brecht, celle de deux albatros volant sur de longues distances, unis par l’amour. Pas de cet amour des premiers instants où l’on se regarde les yeux dans les yeux, mais celui dont le regard est tourné vers le monde. Hanif Kureishi