La pitié envers les bêtes est si étroitement unie à la bonté du caractère, que l’on peut affirmer de confiance que celui qui est cruel envers les bêtes ne peut être un homme bon.
La pitié envers les bêtes est si étroitement unie à la bonté du caractère, que l’on peut affirmer de confiance que celui qui est cruel envers les bêtes ne peut être un homme bon. Schopenhauer