Malheur à qui aime sans être aimé ! Ah ! l’effrayante chose. Voyez cette femme. C’est un être charmant. Elle est douce, blanche, candide ; elle est la joie et l’amour du toit. Mais elle ne vous aime pas. Elle ne vous hait pas non plus. Elle ne vous aime pas ; voilà tout. Sondez, si vous l’osez, la profondeur d’un tel désespoir.
Malheur à qui aime sans être aimé ! Ah ! l’effrayante chose. Voyez cette femme. C’est un être charmant. Elle est douce, blanche, candide ; elle est la joie et l’amour du toit. Mais elle ne vous aime pas. Elle ne vous hait pas non plus. Elle ne vous aime pas ; voilà tout. Sondez, si vous l’osez, la profondeur d’un tel désespoir. Victor Hugo