MLa rencontre donne naissance à quelque chose de plus riche que deux individus, 1+1 = 3. Le trois, c’est l’ouverture, la complémentarité C’est le début de l’aboutissement : thèse, antithèse, synthèse Trois, c’est le triangle, avec un qui observe les deux autres et qui attend son tour. C’est une harmonie qui tourne sur elle-même et n’a pas trouvé son chemin vers l’extérieur. Trois, c’est le début de la famille, c’est l’enfant qui parait : 3 = 1. Trois, c’est le plus petit des groupes. Le chiffre 3, c’est les deux courbes qui s’entrelacent et donnent naissance à quelque chose qui est bien plus que le deux. C’est l’harmonie des courbes qui a effacé les aspérités du trait.
MLa rencontre donne naissance à quelque chose de plus riche que deux individus, 1+1 = 3. Le trois, c’est l’ouverture, la complémentarité C’est le début de l’aboutissement : thèse, antithèse, synthèse Trois, c’est le triangle, avec un qui observe les deux autres et qui attend son tour. C’est une harmonie qui tourne sur elle-même et n’a pas trouvé son chemin vers l’extérieur. Trois, c’est le début de la famille, c’est l’enfant qui parait : 3 = 1. Trois, c’est le plus petit des groupes. Le chiffre 3, c’est les deux courbes qui s’entrelacent et donnent naissance à quelque chose qui est bien plus que le deux. C’est l’harmonie des courbes qui a effacé les aspérités du trait. Didier Hallépée