Le huit, c’est le chiffre de l’expansion. C’est le 1 de la première cellule qui se divisant a donné 2, se divisant encore a donné quatre, se divisant encore a donné 8 et il n’y a pas de raisons que ça s’arrête là. C’est la cellule qui a commencé son long chemin vers la diversité biologique. C’est pour cela que, se couchant, le huit sert de symbole à l’infini. Quatre pattes, c’était bien, même si certaine espèce essaie de n’en utiliser que deux pour marcher. Mais chez certaines espèces, ça ne suffit pas, et l’on est passé de 4 à 8 : huit tentacules chez les poulpes, pieuvres et autres octopodes, 8 pattes chez les araignées, 6 pattes et deux ailes chez les insectes volants.
Le huit, c’est le chiffre de l’expansion. C’est le 1 de la première cellule qui se divisant a donné 2, se divisant encore a donné quatre, se divisant encore a donné 8 et il n’y a pas de raisons que ça s’arrête là. C’est la cellule qui a commencé son long chemin vers la diversité biologique. C’est pour cela que, se couchant, le huit sert de symbole à l’infini. Quatre pattes, c’était bien, même si certaine espèce essaie de n’en utiliser que deux pour marcher. Mais chez certaines espèces, ça ne suffit pas, et l’on est passé de 4 à 8 : huit tentacules chez les poulpes, pieuvres et autres octopodes, 8 pattes chez les araignées, 6 pattes et deux ailes chez les insectes volants. Didier Hallépée