Et marchant à la mort il meurt à chaque pas. Il meurt dans ses amis, dans son fils, dans son père. Il meurt dans ce qu’il pleure et dans ce qu’il espère Et sans parler des corps qu’il faut ensevelir Qu’est-ce donc oublier, si ce n’est pas mourir.
Et marchant à la mort il meurt à chaque pas. Il meurt dans ses amis, dans son fils, dans son père. Il meurt dans ce qu’il pleure et dans ce qu’il espère Et sans parler des corps qu’il faut ensevelir Qu’est-ce donc oublier, si ce n’est pas mourir. Alfred de Musset