Lire, c’est ouvrir les portes du silence, y pénétrer à pas feutrés, le coeur battant, et miser gros sur l’inconnu.
Lire, c’est ouvrir les portes du silence, y pénétrer à pas feutrés, le coeur battant, et miser gros sur l’inconnu. Yannick Haenel
- Du jour où j’ai compris que la mort pouvait me dérober un visage aimé, du jour où j’ai compris que ceux que j’aimais étaient mortels, j’ai voulu les aimer plus forts.
- Ce qu’on apprend dans les livres de Christian Bobin, c’est la grammaire du silence. Et cette langue n’a point de fin. Et elle me console. Souvent.