Les optimistes ont bien de la chance. Les pessimistes, bien du travail. Que les premiers n’oublient pas d’être prudents, ni les seconds d’aimer la vie.
Les optimistes ont bien de la chance. Les pessimistes, bien du travail. Que les premiers n’oublient pas d’être prudents, ni les seconds d’aimer la vie. André Comte-Sponville