Pessimisme et optimisme ne sont que deux pôles, comme dans un champs magnétique, entre lesquels chacun fluctue au gré de son tempérament ou de sa chance, mais qui ne sont vraiment utiles qu’ensemble, ce qui suppose qu’on ne reste prisonnier d’aucun des deux.
Pessimisme et optimisme ne sont que deux pôles, comme dans un champs magnétique, entre lesquels chacun fluctue au gré de son tempérament ou de sa chance, mais qui ne sont vraiment utiles qu’ensemble, ce qui suppose qu’on ne reste prisonnier d’aucun des deux. André Comte-Sponville