Certains drames unissent les gens : ils se serrent dans les bras les uns des autres comme des promesses silencieuses d’un amour encore plus fort. Mais d’autres aboutissent à des moments dénués d’émotion : on était là à se regarder, et on partageait si peu de chose. Nous étions dans une forme de cohabitation du vide.
Certains drames unissent les gens : ils se serrent dans les bras les uns des autres comme des promesses silencieuses d’un amour encore plus fort. Mais d’autres aboutissent à des moments dénués d’émotion : on était là à se regarder, et on partageait si peu de chose. Nous étions dans une forme de cohabitation du vide. David Foenkinos