On pouvait admettre que le coeur, quand il vivait, quand il se manifestait, écrasait de son hégémonie sensible toutes les péripéties du reste du corps.
On pouvait admettre que le coeur, quand il vivait, quand il se manifestait, écrasait de son hégémonie sensible toutes les péripéties du reste du corps. David Foenkinos