J’ai défendu à ma bien-aimée de se servir de l’éventail, et voici ma raison : j’ai craint que le zéphyr en s’approchant de ses joues, n’en blessât la délicatesse.
J’ai défendu à ma bien-aimée
de se servir de l’éventail, et voici
ma raison : j’ai craint que le zéphyr
en s’approchant de ses joues,
n’en blessât la délicatesse. Abou-Abd-allah-Mohammed ben Omar Alwakédy