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La calomnie honore, en croyant qu’elle outrage. Ô mon frère, je veux, relisant tes écrits, Chanter l’hymne funèbre à tes mânes proscrits ; Là, souvent tu verras près de ton mausolée, Tes frères gémissants, ta mère désolée, Quelques amis des arts, un peu d’ombre et des fleurs, Et ton jeune laurier grandira sous mes pleurs.

La calomnie honore, en croyant qu’elle outrage. Ô mon frère, je veux, relisant tes écrits, Chanter l’hymne funèbre à tes mânes proscrits ; Là, souvent tu verras près de ton mausolée, Tes frères gémissants, ta mère désolée, Quelques amis des arts, un peu d’ombre et des fleurs, Et ton jeune laurier grandira sous mes pleurs. Marie-Joseph Chénier

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